22 mai 2009
A L'HEURE DE VENISE. . .
Il ne m’est pas possible d’imaginer Venise sans pluie. Je ne sais pas pourquoi. Le soleil, hormis entre deux averses pour une simple éclaircie, me semble sacrilège sur la façade des palais, à la surface des canaux… L’odeur de vase, de boue, d’humidité...